Ce n’est pas seulement hier qu’une imprimante photo mobile, l’Instax Mini Link 3, était disponible à l’achat, même si elle est également largement disponible dans ce pays sans aucun problème. La société a maintenant annoncé une nouvelle version du modèle, créée en coopération avec Google. Le modèle porte le nom complet Fujifilm Instax Mini Link 3 Google Pixel Collaboration Model et n’a pas seulement un design de couleur qui correspond à la version couleur Rose Quartz du Google Pixel 9 Pro. L’Instax Mini Link 3 prend en charge Fast Pair et donc la connexion rapide entre le smartphone et l’imprimante – en fin de compte, bien sûr, il s’agit d’une fonctionnalité pratique, mais pas d’une innovation révolutionnaire. La version spéciale Pixel est désormais disponible aux États-Unis au prix de 130 dollars, mais les informations sur une éventuelle sortie mondiale ne sont pas encore disponibles.
Techniquement, la version pixel est identique à la version standard également disponible dans ce pays en termes d’impression. L’imprimante Instax Mini Link 3 produit des images de 62 x 46 millimètres, la résolution d’impression est de 318 DPI et 256 niveaux peuvent être affichés par couleur RVB. Il faut environ 15 secondes pour produire une photo, et la photo est ensuite entièrement développée en 90 secondes environ, en fonction de la température. Le système de 90 x 125 x 37,3 millimètres pèse environ 210 grammes sans film et peut produire jusqu’à 100 impressions avec une seule charge de batterie. Comme d’habitude avec de tels systèmes de photo instantanée : les films ne sont pas particulièrement bon marché ; un film de 20 copies coûte environ 16 euros.
Je suis journaliste actif depuis plus de dix ans, la plupart dans le secteur technologique. J’ai travaillé entre autres pour Tom’s Hardware et ComputerBase, et je travaille également pour Notebookcheck depuis 2017. Je me concentre actuellement particulièrement sur les mini PC et les ordinateurs monocarte tels que le Raspberry Pi – des systèmes compacts offrant de nombreuses possibilités. Il a également une passion pour tous les types de wearables et notamment les smartwatches. Mon métier principal est celui d’ingénieur de laboratoire, c’est pourquoi je ne suis pas très éloigné des relations scientifiques ou de l’interprétation de mesures complexes.